Association familiale van Outryve dYdewalle Familievereniging

Quatre branches - Vier takken

Tous cousins

Les van Outryve d'Ydewalle comptent près de cent cinquante porteurs du nom, tous cousins. Découvrez l'histoire de notre famille au départ
- du récit des sept générations originaires d'Oostrozebeke qui se sont établies en région brugeoise : lien suivant
- de l'index des membres de notre famille (période 1650-1950) ainsi que de l'index des demeures et lieux où ils vécurent.

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Notre dernier Bulletin

Le Bulletin n°37 a été transmis par email, au cours du premier semestre de cette année, à l'ensemble des contacts de notre Association familiale.
Les articles de nos Bulletins qui font référence à l'histoire de notre famille sont accessibles via l'onglet Articles récents.
L'accès à l'ensemble des articles de nos plus récents bulletins est réservé à nos membres en règle de cotisation, qui peuvent les consulter en ligne via l'Espace privé de ce site.
L'identifiant et le mot de passe donnant accès à cet espace privé leur est communiqué sur simple demande à nous adresser au départ du lien suivant.

Rappelons que le Bulletin n°35, édité à l'occasion du 250e anniversaire de l'anoblissement de la famille, proposait un survol des sept générations van Outryve d'Ydewalle qui ont vécu en région brugeoise entre 1650 et le début du XXe siècle
Il peut être consulté au départ du lien suivant.

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Hubert & Veerle van Outryve d’Ydewalle

I1 Hubert Veerle et enfants vOdY

Hubert

Hubert van Outryve d’Ydewalle (°1969) est le premier fils de Donat van Outryve d’Ydewalle (1943 -2003) et Isabelle Dautricourt (°1948), petit-fils d’Hubert van Outryve  d’Ydewalle (1909-1945) et Hélène du Sart de Bouland (1913-1998) et arrière-petit-fils d’André van Outryve d’Ydewalle (1876-1940) et Marie de Vrière (1887-1931).
Il a un frère Tristan (°1974). Hubert est marié à Veerle Derycke, qui est ingénieur agronome à l’université de Gand (voir plus bas) depuis août 1998.
Ils ont deux enfants: Aaricia (°2002) et Assunta (°2005). Ils vivent à Aalter en Flandre Orientale.
Leurs passions sont la nature, la lecture (non fiction et BD), et l’Aïkido.

Hubert a passé sa jeunesse à Beernem aux Trois Rois. Après ses études de paysagiste, il a repris la pépinière des Trois Rois.
Mais en partie suite à la maladie de son père, il a quitté cette piste et s’est engagé à la Gendarmerie en 1998, un rêve d’enfant.
Après sa formation de base, suivie de diverses formations en Belgique et à l’étranger, il a rejoint en 1999, une cellule d’enquête bilingue mixte, qui opérait sur tout le territoire belge.
Depuis 2001, il fait partie de l’Office Central pour la Répression de la Corruption (OCRC).

Ce service est une entité au sein de la Police fédérale, et plus particulièrement de la Direction centrale de la lutte contre la criminalité grave et organisée.

L'OCRC existe dans sa forme actuelle depuis une dizaine d'années, mais son origine remonte à bien plus longtemps. Celui-ci, fondé par un arrêté royal du 30 octobre 1910, portera le nom de « Comité Supérieur de Contrôle » (CSC). En 1940, le CSC fut intégré au sein des Services du Premier Ministre. En 1998, le service d'enquêtes du CSC fut intégré au sein de la Police judiciaire. Lors de la réforme des services de police, le 1er janvier 2001, l'OCRC a intégré la Direction générale de la Police judiciaire.

L'OCRC constitue, au sein de la Police fédérale, un des rares services centraux avec une compétence opérationnelle. Cela signifie que ses membres peuvent mener des enquêtes judiciaires (perquisitions, saisies, auditions, arrestations, PV, etc.) soit de façon autonome, soit en appui ou en collaboration avec les Directions judiciaires décentralisées dans tous les arrondissements, en fonction de la gravité de l'enquête, de son caractère sensible, de la fonction occupée par les auteurs, de la complexité des actes demandés, etc.

L'OCRC compte deux sections composées d'enquêteurs appartenant aux rôles linguistiques francophone et néerlandophone :

  • La section « Marchés publics » est chargée principalement des dossiers relatifs à des fraudes en matière de marchés publics.
  • La section « Fraudes financières » est chargée de tous les autres dossiers de fraude confiés à l'OCRC (notamment les fraudes aux subsides) et des dossiers de corruption de fonctionnaires et mandataires politiques.

Par ailleurs, l'OCRC a développé des liens privilégiés avec deux entités particulières:

La cellule "Fraude et Football" réunit les partenaires de la lutte contre la fraude dans ce sport, et même dans d’autres secteurs sportifs, comme le cyclisme ou le tennis. Ils sont en charge des aspects pénaux liés aux truquages des paris sportifs, nécessitant la corruption de joueurs ou d'arbitres.

Les officiers de liaison (LO) avec la Commission des jeux de hasard sont des membres de l'OCRC qui permettent de coordonner les enquêtes dans lesquelles la Commission et l'OCRC sont partenaires.

Les investigations de l'OCRC visent principalement les infractions de corruption, concussion, prise d'intérêt et détournement dans les domaines des marchés publics, subsides, permis et agréments. En d’autres termes l'OCRC est à la recherche des infractions commises au préjudice des intérêts principalement de l'Etat.

En raison de la présence des institutions européennes à Bruxelles, l'OCRC est également chargé chaque année de plusieurs enquêtes concernant des infractions commises par des fonctionnaires européens. L'OCRC collabore dès lors étroitement avec l'Office européen de lutte antifraude (OLAF). C'est en effet souvent suite à une enquête administrative de ce dernier que survient, à la demande d'un magistrat belge, l'enquête judiciaire réalisée par l'OCRC.

Pour le traitement des dossiers internationaux, la collaboration avec les services de police étrangers est primordiale ; en particulier quand il s’agit d’effectuer à l’étranger et/ou en Belgique des éventuelles commissions rogatoires internationales.

En termes de chiffres, il faut savoir que le phénomène de corruption est très difficile à mesurer. Cela va du prix d’un sandwich jusqu’aux montants astronomiques, ce qui se passe en Belgique ou qui a des ramifications internationales. En plus, la corruption se mélange souvent avec d’autres infractions. Il est estimé que la fraude en Belgique se situerait globalement entre 12 et 20 milliards d’euros par an. Ce qui représente à peu près 3 à 4% du PIB. Toutefois en 2014, la Cellule de Traitement des Informations Financières (CTIF) n’a remis au Parquet que 12 dossiers de blanchiment par rapport à la corruption et ce, pour un montant de 8,9 millions d’euros.

Au tableau de la carte mondiale de la corruption établie par l’ONG Transparency International en 2018, la Belgique, tout comme les États-Unis par ailleurs, occuperait la 22ème place. En tête du classement, les moins corrompus sont: le Danemark, la Nouvelle Zélande et la Finlande. En bas, nous trouvons le Soudan du Sud, la Syrie et la Somalie.

Au niveau européen, la fraude en général se situerait entre 700 et 900 milliards d’euros.

L'impact de ces différents phénomènes sur notre société peut se ressentir à différents niveaux:

  • Au niveau politique, au travers du discrédit jeté sur les institutions ou administrations concernées. Cela suscite non seulement une réduction de la confiance du public envers celles-ci mais également un effritement de l'image de marque du pays à l'étranger.
  • Au niveau démocratique, le principe de l'égalité des citoyens se trouve bafoué. La corruption et les infractions avoisinantes portent atteinte au plus haut point aux valeurs éthiques de la société. En effet, c'est avant tout la collectivité dans son ensemble qui subit les conséquences du manque d'intégrité des représentants de l'administration, au travers de la violation des principes démocratiques fondamentaux. A l'extrême, la généralisation d'un tel système serait une porte ouverte à toutes sortes de dérives.
  • Au niveau économique, le discrédit jeté sur les secteurs affectés pourrait entraîner une réticence de la part d'investisseurs, notamment étrangers, à injecter de l'argent propre dans notre économie. Plus particulièrement dans le cadre des marchés publics, les entreprises qui ne souhaiteraient pas entrer dans « le système » risqueraient fort de n'obtenir aucun marché, ce qui les conduirait inévitablement à la faillite.
  • Au niveau social, les faillites de sociétés honnêtes pourraient entraîner des situations extrêmement précaires dans le chef des travailleurs ayant perdu leur emploi. En outre, comme nombre d'entreprises incriminées perçoivent la corruption comme une stratégie de survie, le risque d'instauration d'une véritable culture de la corruption ne doit pas être négligé.
  • Au niveau sécuritaire, l'usage de corruption peut conduire, par exemple, à la mauvaise qualité des matériaux utilisés ou des produits obtenus, ou encore à la délivrance illicite de documents (d'identité par exemple), avec toutes les conséquences que cela sous-entend.

 Ainsi, les auteurs de tels faits multiplient les comportements non éthiques et font usage notamment de corruption et d'influence, avec entre autres pour conséquence de donner naissance à des situations politiques, sociales ou économiques problématiques. Ils recherchent un profit personnel au préjudice de l'intérêt public.

Veerle

Veerle Julia Clara Derycke werd geboren op 19 juli 1972. Na haar studies Latijn-Wiskunde in het Lyceum Hemelsdaele te Brugge, behaalde ze in Gent in 1995 het diploma Master in de Biowetenschappen afstudeerrichting Plantaardige Productie.
Als ingenieur startte ze eerst met enkele kortere werkopdrachten bij achtereenvolgens Barenbrug-Maes, het toenmalige Landbouwkrediet en het Provinciaal Onderzoekscentrum voor Land- en Tuinbouw (huidige Inagro).
Uiteindelijk werd ze in 1997 als assistent aangeworven bij de Hogeschool Gent in de opleiding industrieel ingenieur in de biowetenschappen.
In 1998 huwde ze met Hubert van Outryve d’Ydewalle en ze kregen samen 2 dochters: Aaricia en Assunta.

In 2013 werd de opleiding industrieel ingenieur volledig geïntegreerd in de Universiteit Gent.
Vanaf dan is zij tewerkgesteld in de faculteit Bio-ingenieurswetenschappen van de Universiteit Gent in de vakgroep Plant en Gewas. Naast een veelzijdige onderwijsopdracht aan zowel bachelor- als masterstudenten wordt een groot deel van haar dagdagelijkse taak ingenomen door onderzoek in de plantaardige productie op de proefhoeve te Bottelare.
Op de proefhoeve wordt zowel toegepast als fundamenteel onderzoek uitgevoerd in gewasproductie waarbij plantenveredeling, teelttechniek en duurzame gewasbescherming centraal staan. De mycotoxine problematiek, beheersing van schimmels bij aardappel of schadelijke insecten in de graangewassen komen aan bod.
Recente onderzoeksthema’s handelen ook over biostimulantia en alternatieven voor de gangbare gewasbeschermingsmiddelen; de invloed van vruchtwisselingssystemen en de inpassing van vlinderbloemigen of voederbiet in de rotatie of het "testen" van minder gangbare teelten zoals hennep of alternatieve granen.
Al meer dan 30 jaar staat triticale, een "human made" graangewas centraal in het onderzoek aan de proefhoeve. Triticale wordt slechts op een beperkt areaal geteeld in België, maar heeft op wereldschaal aan belang gewonnen.
Door het jarenlange onderzoek en het veredelingsprogramma in triticale werd een mooie expertise opgebouwd en is de Universiteit Gent en meer bepaald de proefhoeve nauw betrokken bij de International Triticale Association (ITA) waarvan Veerle sinds meerdere jaren secretaris en webmaster is.
Hierdoor werden wereldwijd contacten opgebouwd met veredelaars en onderzoekers in de triticale wereld.

Door deelname of organisatie van internationale symposia, participatie aan internationale projecten, begeleiding van studiereizen van studenten of opleiding van buitenlandse onderzoekers blijft haar taak niet enkel beperkt tot enkel het lokale karakter, maar komen ook aspecten van voedselzekerheid en duurzame voedselproductie wereldwijd regelmatig aan bod.

Hubert & Veerle van Outryve d'Ydewalle